Asesoramiento psicológico, terapia y coaching

« Ne prétendons pas que les choses changent si nous continuons à faire la même chose », Einstein

Affichage des articles dont le libellé est français. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est français. Afficher tous les articles

mardi 5 mai 2020

MESURES DE PREVENTION CONTRE LA PROPAGATION DU COVID 19 À LA CONSULTATION

 

Nous avons repris notre activité de santé en présence à notre consultation de psychologie en implantant le protocole suivant pour la prévention de la propagation du COVID 19 dans le cabinet, incluant les mesures générales de protection face au virus dictées par le ministère de Santé :

 1.    Rendez-vous des patients de manière échelonnée afin de ne pas les faire coïncider avec d’autres personne dans la salle d’attente. 

2.    Recommandation de ne pas arriver plus de 3 minutes à l’avance pour rester le moins de temps possible dans la salle d’attente.

3.    Recommandation de liquider les séances à l’avance par virement bancaire pour éviter de manipuler l’argent physique. Dans tous les cas, le paiement ne sera plus réalisé par le service de secrétariat mais directement par la psychologue.

4.    En entrant, il est obligatoire de se nettoyer les mains avec le gel hydroalcoolique placé à l’entrée.

5.    Maintenez la distance interpersonnelle d’environ deux mètres entre les personnes.

6.    Il y a un écran entre l’entrée et le service de secrétariat.

7.    L’utilisation d’un masque est obligatoire tout au long de la présence à l’intérieur du cabinet.

8.    Entre chaque patient, la psychologue aère le cabinet 5 minutes, la table, les chaises et les poignets de porte sont désinfectés avec une solution désinfectante à base d’ammonique.

9.    De la même façon, si vous avez besoin de matériel tel que des stylos, des bulles de relaxation ou tout autre matériel, il sera préalablement et ultérieurement désinfecté.

10. L'agenda du thérapeute est utilisé comme l’inscription de l'utilisation des installations dans le cas où un ou plusieurs patients nous informent d'un cas confirmé pour informer les personnes qui pourraient avoir coïncidé avec la personne infectée.

11. En cas de malaise, de fièvre ou d'autres symptômes compatibles avec le COVID-19, vous ne devez pas vous rendre au cabinet, car vous pouvez remplacer immédiatement la consultation en face à face par une consultation par vidéoconférence.

12. Bien que des bons de présence soient fournis qui permettent de voyager en dehors des zones confinées, il y a aussi la possibilité de changer la consultation en face à face pour la consultation virtuelle à tout moment.

13. Il y a deux parkings à moins de 100 mètres de la consultation, ainsi que des parkings dans la zone SER qui permettent d'éviter, si possible, l'utilisation des transports en commun.

14. Nous recommandons de suivre à tout moment les recommandations et prescriptions du Ministère de la Santé pour éviter la propagation du COVID19 pour réaliser des espaces sûrs.

dimanche 29 décembre 2019

Quelles sont les urgences psychologiques les plus courantes en cette période de fin d'année ?


Quelles sont les urgences psychologiques les plus courantes en cette période de fin d'année ?

Sans être classé en tant qu’urgence psychologique, il n'est pas rare que dans les semaines précédant les périodes de vacances ou de jours fériés, il y ait un surcroît des consultations psychologiques probablement dues en raison de la prévision d'une augmentation du temps non structuré, ainsi que des contacts sociaux ou l'inverse, par l'absence de rencontres perçues comme normatives.

Les épisodes étiquetés par les manuels de diagnostic (DSM-5 ou CIE-10) comme dépressifs, anxiogènes ou mixtes, avec toutes leurs spécificités (phobie sociale, crise de panique, trouble obsessionnel-compulsif, anorexie nerveuse, boulimie nerveuse...) sont les trois raisons de consultations les plus fréquentes.

Les problèmes dans le couple ou avec les enfants peuvent également nécessiter des conseils psychologiques spécialisés. Maximiser après l'évaluation scolaire qui coïncide avec la fin du trimestre et avec le désir de commencer une meilleure nouvelle année.

Une autre cause possible de la demande de consultation est l'augmentation des symptômes de stress de l'accumulation d'événements vitaux stressants (AVE) à ces dates. Parmi ces AVE se trouvent les mêmes vacances ou périodes de Noël ...

Les AVE sont compris dans une échelle faite en 1967 par Thomas Holmes et Richard Rahe pour identifier 43 événements stressants qui peuvent se produire dans la plupart des cultures et peuvent causer des maladies. Bien que certaines études aient critiqué la validité de l'échelle au XXème siècle et sa transculturalité, son utilité demeure d'évaluer le degré de stress auquel une personne particulière est exposée et le degré d'impact psychologique perçu (« Conditions psychométriques de l'échelle des événements vitaux stressants, Londoño et Cols dans Current In Psychology, 33 (126), janvier-juin 2019, 83-96).

L'un de ces AVE peut être dû à la perte d'un membre de la famille ou d'une personne proche, soit à la suite d'accident, soit à l'automutilation. Selon l'examen effectué par le Dr Dominique Savary dans le Journal Medscape, la période de fin d'année est associée à une augmentation de la mortalité des patients principalement atteints de maladies cardiovasculaires et, en particulier les patients atteints de maladies coronaires. Dans ces cas, il a été démontré que l'utilisation des services d'un psychologue ou d'un psychologue spécialisé dans les urgences psychologiques, améliore les soins immédiats en cas d'urgence, il peut prévenir les complications ultérieures et favorise la détection précoce des facteurs de vulnérabilité possibles à l'avenir des personnes proches du décès imprévu.

Enfin, il est important de noter que l’abstinence tout comme la consommation excessive d'alcool ou d'autres substances (anxiolytiques, cocaïne, amphétamines, caféine, anticholinergiques, hallucinogènes, hormones stéroïdes ou sympathomimétiques), augmentent également les urgences médicales et psychologiques.

De ma part, je collabore depuis 2014 avec le Service d'Assistance et le Soutien Psychologique de PsyFrance dans l’aide psychologique urgente des personnes à risque psychosocial et dans l'accompagnement d'événements vitaux stressants pour répondre à ces éventualités.



vendredi 19 avril 2019

Jane Goodall: "Nous avons un intellect, mais sommes-nous intelligents?"

Dès ma première année d’études, en éthologie, cette femme m’a fait un grand chaud au cœur.

Aujourd'hui âgée de 85 ans, Jane Goodal continue à transmettre son amour pour les animaux et l'écologie.

Je reste avec cette phrase "Et je suis convaincue que nous ne pouvons atteindre notre potentiel humain que lorsque la tête et le cœur sont en harmonie".



jeudi 18 avril 2019

Paul Greengard "l'homme qui a découvert le baiser de joie"


Paul Greengard est décédé le 13 avril, un homme passionné, physique, non conformiste, plein de créativité et qui a apporté à la psychologie la compréhension des mécanismes neurochimiques de la transmission interneuronale.

Entre la fin du XXème siècle et le début du XXIème siècle, le docteur Santiago Ramón y Cajal a décrit la doctrine neuronale expliquant la forme et les modes de connexion entre neurones. C'est pour cette raison qu'il a reçu le prix Nobel de médecine en 1906. Ramón y Cajal a appelé "bisous" à cette synapse et à cette communication entre les neurones.

Pendant plus de 50 ans, la plus part de la communauté scientifique a pensé que ces "baisers" étaient essentiellement électriques; cependant, un médecin suédois, Arvid Carlson, avait isolé et identifié la dopamine comme un élément fondamental de la transmission cérébrale ainsi que du contrôle des mouvements. Et avec lui, notre homme, Greengard, a décrit le fonctionnement de la dopamine et d'autres molécules pour obtenir une transmission neuronale.

Au XXIème siècle, Eric Knadel, Arvid et Greengard partagèrent le prix Nobel de médecine en 2000, car ils avaient mis en relation les processus neurochimiques du cerveau, la mémoire et l'apprentissage.

Le développement de l’étude de la dopamine nous a montré qu’il s’agissait d’un neurotransmetteur présent dans de nombreuses régions du cerveau et qu’il a davantage plus de fonctions que la communication neuronale ou les mouvements du corps. En simplifiant beaucoup, la libération de dopamine nous procure du plaisir et nous incite à répéter les comportements. Par conséquent, en thérapie, il est essentiel de prendre en compte la manière dont l’étude de la dopamine peut agir chez différentes personnes et leurs comportements.

Si vous êtes aussi passionné que moi par la relation entre la physique, l’histoire et psychologie, je vous invite à lire un bon article qui développe les principales contributions de Paul Greengard. Il a été écrit hier par le journaliste scientifique Manuel Ansede à El País, où j'ai pris la photo de Greengard.




mercredi 25 avril 2018

¿Besoin de fuir ou juste d'allumer la conscience?

Parfois, nous sommes si fermés dans notre immédiateté que nous croyons que la seule ou la meilleure solution à notre situation actuelle est d'en sortir, de fuir plus ou moins temporairement.

Cette idée qui peut sembler naturelle et instinctive, dans l'être humain, culturel et mental, est très médiatisée par le marketing qui nous sature chaque jour de messages d'alternatives de loisir pour être plus heureux. Mais le piège est très simple, pour consommer nous avons besoin d'argent, et pour obtenir de l'argent honnêtement, nous devons travailler, prendre des responsabilités et produire.

Et lorsque le niveau du travail et de l'activité ne correspond pas à nos besoins personnels, nos rythmes et nous goûts, nous pouvons être saturés et le labyrinthe se ferme alors, nous reprenons l’idée de « fuir » temporairement, comme la meilleure solution et la plus abordable.

Mais, que se passerait-il si nous allumons la lumière dans notre vie? Si nous prenions un temps personnel pour respirer, penser et ressentir, que nous dirions-nous? Que choisirions-nous de faire?

C'est la proposition de réflexion que nous présentons cette semaine, veille de la semaine prochaine avec des jours fériés ...

Que dites-vous?

lundi 26 mars 2018

"La théorie suédoise de l'amour" un documentaire pour réfléchir sur les relations


Que se passerait-il si tous nos besoins étaient couverts, de la naissance à la mort, par exemple, par l'État? Si qui prenait soin de nous était l'état et non les personnes, serions-nous en relation les uns avec les autres? Serions-nous en relation?
Parce que ce que personne ne peut faire pour vous, c'est de vivre ensemble, seulment chacun de nous peut le faire. "La théorie suédoise de l'amour" C'est un documentaire qui m'a fait réfléchir beaucoup sur les relations et les liens; le bonheur ou la sécurité, l'individualité et la communauté. Je vous invite à le voir et commenter https://www.youtube.com/watch?v=CKk0wNbHEeU


mardi 26 septembre 2017

« La Philosophie comme médicament pour l’âme”?


Cette semaine, j’ai entendu ce propos de Thibaut de Saint Maurice et cela m’a bien plu. 

Ce n’est pas étonnant, car avant ses 40 ans, les études et maitrise de Psychologie en Espagne, dépendaient des facultés de Philosophie et Lettres, et maintenant elles sont reconnues comme des études appartenant à la médecine et les sciences de la santé.

Par contre, ce propos a plus de 2000 ans, et c’était dans les fondamentaux de la médecine d’Hippocrate, qui défendaient une vision globale du corps humain y compris les pensées, émotions et humeurs. Á cette époque la bonne santé de l’âme était  la tranquillité et la condition de la vie heureuse. Plus tard, Épicure disait qu’il n’y avait pas d’âge pour assurer la santé de l’âme. Les maladies de l’âme, de son point de vue, seraient les craintes et les espoirs ou les désirs inassouvis.

Cela n’est pas trop loin du travail psychologique de nos jours, où nous combinons des techniques de biofeedback, l’entrainement entre séances avec la discussion pour mettre de la lumière dans l’inconscient et articuler des discours avec plus de consciences et profondeur.

Alors, pourrions-nous nous passer de la Psychologie ? À mon avis non, car la Psychologie est une science très vaste qui nous permet une approximation individualisée aux personnes et ses soucis. Etant donné aussi qu’il y a beaucoup d’écoles philosophiques, ce n’est pas facile de trouver « le médicament philosophique » pour chaque personne et son malaise dans un moment concret de sa vie.

Par ailleurs, lire, explorer et raisonner avec calme et philosophie me semble très utile avec les précisions qu’expose Thibaut. Comme tout « médicament », la philosophie demande aussi de respecter les doses : trop de discours et les effets deviennent nocifs, nous mettant en risque de nous perdre dans l’enjeu, oublier son corps et le reste de plaisir de la vie.


Bonne semaine !

mardi 29 août 2017

La rentrée, un bon moment pour la réflexion


Bonjour, comment avez-vous passé l’été ?

Bien que, selon le calendrier nous avons encore quelques semaines d'été jusqu'au 21 septembre, beaucoup de personnes pensent à présent qu’en septembre, ils reprendront ou pas, leurs horaires quotidiens, leurs activités, d’ici quelques jours.

Sans le vouloir, septembre devient comme un retour à l'enfance, au calendrier scolaire, où après les mois de juillet et d'août, nous reprenons les routines et nous nous prenons de bonnes intentions.

Et voilà où je voulais en arriver. Avons-nous favorisé les espaces personnels cet été ? Nous sommes-nous sentis bien en nous-même et nous sommes-nous sentis écouté ? Avons-nous formulé de nouvelles intentions ou avons-nous envie d’anciens souhaits ?

Si nous n'avons pas été en mesure de consacrer du temps à nous-mêmes, il se peut que ces jours-ci puissent être une bonne occasion avant le début du mois de septembre.

Peut-être après avoir lu cette publication, nous pouvons réserver cinq minutes, quinze ou tout le temps que nous souhaitons pour être avec nous-mêmes. Ici et maintenant. Respirer, sentir et écouter ce que notre corps et nos pensées nous communiquent : "Je vais bien", "Je suis phénoménal", ou "Je suis ......" "Cela m’arrive ...". C’est là où je vous propose de vous situer, dans l’écoute, les ressentis et l’accueil, par exemple : “D'accord, je t’écoute, après je déciderai de ce que je fais avec, mais maintenant je suis à l'écoute".

Si vous le souhaitez, plus tard, nous pouvons continuer à partager ces brefs espaces de réflexion, maintenant tout simplement, nous pouvons nous féliciter d'avoir consacré ce temps de lecture.


Bonne journée!


vendredi 7 avril 2017

Journée mondiale de la Santé: la dépression affecte plus de 350 millions de personnes au monde

Comme Journal Médical souligne, la stigmatisation de la dépression reste un obstacle pour que personnes du monde entier demandent de l'aide. Pour lutter contre cette réalité, l'OMS consacre la Journée mondiale de la Santé d’aujourd'hui 7 Avril, 2017, à cette maladie.

               A l'occasion de la Journée mondiale de la Santé, que cette année se dédie à la dépression, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) veut envoyer un message clair : la dépression est prévisible et soignable. Les patient(e)s et spécialistes de la santé mentale affirment « nous devons parler de la dépression normalement et ne pas le cacher comme si elle était un secret. »

               La dépression est une chose complètement différente des changements habituels d'humeur et de brèves réponses émotionnelles aux problèmes de la vie quotidienne. Pouvant devenir un grave problème de santé, surtout quand il est de longue durée et de modérée à sévère, causant de grandes souffrances et modifier le travail, l'école et les activités familiales. Dans le pire des cas, il peut conduire au suicide. D'ailleurs, chaque année, plus de 800.000 personnes se suicident, c'est la deuxième cause de décès dans le groupe d'âge de 15 à 29 ans.

               Sous le slogan Parlons de la dépression, l'objectif de l'OMS est de mettre fin à cette stigmatisation et veiller à que le grand public soit mieux informé sur la maladie mentale, leurs causes et conséquences possibles, et sur tout le soutien disponible pour la prévention et le traitement.


               Pour mieux comprendre la dépression et ses conséquences, l’OMS nous invite à voir les vidéos suivants.

vendredi 16 décembre 2016

La dépression comme thème de la Journée mondiale de la Santé 2017

Nous avons pris connaissance que l'Organisation mondiale de la Santé a choisi la dépression comme thème de la Journée mondiale de la Santé 2017.

À cette occasion, je vais dédier une série de publications sur mon blog au phénomène de la dépression, exposant ce que nous entendons de nos jours du point de vue clinique par dépression, ses manifestations, ses possibilités d'intervention et les prévisions d'amélioration.

Dépression: parlons-en

La Journée mondiale de la santé, célébrée chaque année le 7 avril pour marquer l’anniversaire de la création de l’Organisation mondiale de la Santé, offre une occasion unique de mobiliser l’action autour d’un thème de santé spécifique qui concerne le monde entier.

À l’occasion de la Journée mondiale de la santé 2017, le thème de la campagne est la dépression.
La dépression touche les personnes de tous les âges, de tous les horizons et de tous les pays. Elle provoque une détresse morale et a une incidence sur l’aptitude des personnes à effectuer les tâches de la vie quotidienne, avec parfois des conséquences désastreuses sur les relations avec la famille et les amis et sur l’aptitude des personnes touchées à gagner leur vie. Dans le pire des cas, la dépression peut conduire au suicide, lequel représente désormais la deuxième cause de décès chez les 15-29 ans.

Toutefois, il est possible de prévenir et de traiter la dépression. Mieux comprendre la dépression, connaître et les moyens de la prévenir et de la guérir, permettra de réduire la stigmatisation associée à cette maladie et d’encourager davantage de personnes à demander de l’aide.



mardi 3 février 2015

La qualité du sommeil étroitement liée au temps passé sur un écran, selon une étude

Les adolescents qui passent beaucoup de temps devant les écrans (téléviseurs, ordinateurs, tablettes, téléphones portables, consoles de jeux), dorment moins longtemps et ont plus de mal à s'endormir, selon une étude publiée ce mardi.

Réalisée sur 10.000 jeunes Norvégiens âgés de 16 à 19 ans, l'étude a notamment montré que les adolescents les plus accros aux écrans avaient un risque accru de mettre plus d'une heure à s'endormir. Ce risque est augmenté de 49% chez ceux utilisant un écran pendant plus de quatre heures par jour (en dehors des heures scolaires) par rapport à ceux l'utilisant pendant moins d'une heure.

Pour en savori plus, cliquex içi.

dimanche 7 décembre 2014

La comunication, Est-elle aussi importante qu’on le croit ? Quand est-ce que nous commençons à communiquer avec les autres ? A quoi cela nous sert ?

Cette semaine, je vous  propose de réfléchir sur la communication.

Est-elle aussi importante qu’on le croit ? Quand est-ce que nous commençons à communiquer avec les autres ? A quoi cela nous sert ?

Toutes ces questions me sont venues à l’esprit en écoutant le programme « Sur les épaules de Darwin » sur France Inter. Le programme de Jean Claude Ameisen parlait de la communication entre les bébés avant de naître et comment cela se constatait aussi chez d’autres espèces d’animaux comme les oiseaux. Ce qui m’a passionné le plus, c’était de voir comment la nature programme l’ interaction obligatoire Maman-bébé, avant même que celui-là naisse et que grâce à ces premières communications Maman-poussin, le poussin est capable d’utiliser le même langage que sa maman à la naissance, permettant de cette façon que la merle puisse identifier son poussin, ou la maman crocodile sa centaine de petits.


Ne vous passez pas d’écouter le programme complet en cliquant ici.

vendredi 31 octobre 2014

Planète surdoués: Un espace d'information et de recherche sur la douance

Normalement, quand on entend qu'une personne est surdouée, on pense aux avantages d'une plus grande capacité, aux meilleures performances qu'elle peut atteindre. Mais dans les faits, il n'existe pas un seul type de personne surdouée, mais bien des personnes concrètes, avec une histoire particulière, des hautes capacités dans des domaines bien spécifiques et différents niveaux de performance suivant ses compétences. 

Connaissez-nous la complexité des personnes surdouées? 

Que vous soyez une personne surdouée, parent d'un enfant intellectuellement précoce ou un professionnel en contact avec une personne à haut potentiel, vous pouvez trouver des outils intéressants sur le site Planète surdoués

mardi 28 octobre 2014

29 octobre Journée Mondiale du Jeu Pathologique

À l'occasion du 29 octobre, déclaré Journée Mondiale du Jeu Pathologique, je vous propose une réflexion à faire: Quand le jeu n'est-il plus un divertissement et  quand devient-il une pathologie?  

Pour plus d'informations, vous pouvez visiter le site officiel du Gouvernement Québécois à ce sujet en cliquant ici.

dimanche 19 octobre 2014

Pratique de l’apatride ou comment repartir à zéro

Trouvez-vous intéressante cette proposition d'Olivier Roland ?

"Essayez de vous débarrasser de tous les moments passés, maintenant. Essayez de faire du moment présent tout ce qui existe. Quand vous sentez qu’une requête ou une idée antérieure attire votre attention, débarrassez-vous-en.

C’est une pratique de l’apatride. Vous échouerez. Laissez cela aller aussi.

Recommencez à zéro, avec toutes les possibilités qu’offre le vide."



Pour lire la suite, vous pouvez clicker ici.


dimanche 14 septembre 2014

10 septembre, Journée Mondial pour la prévention du suicide

À l'occasion du 10 septembre, Journée Mondial pour la prévention du suicide, je vous présente un article intéressant : Le suicide, pathologie de la décision? Le suicide est-il un libre choix? Cette interrogation, qui sonne comme une question de philosophie, fait actuellement l'objet de travaux de recherches neuropsychologiques. Les premiers résultats tendent à confirmer que le suicide est avant tout l'expression extrême d'une tendance à faire des mauvais choix. Pour en savoir plus, Cliquez ici

vendredi 20 juin 2014

Les Autres, une BD pour promouvoir le bien-être des jeunes et prevenir le suicide

Le suicide est la première cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 29 ans en Suisse. 

L’association STOP SUICIDE s’est donnée pour but de parler et faire parler du suicide, afin d’informer, sensibiliser et prévenir le suicide des jeunes. 

En octobre 2013, un nouvel outil a pu voir le jour, fruit d’un travail de longue haleine : la bande dessinée Les Autres. Pour en connaitre plus cliquez ici.

jeudi 12 juin 2014

Les enfants de parents bipolaires sont plus sujets aux problèmes psychosociaux

Les enfants de parents bipolaires sont plus sujets aux problèmes psychosociaux, surtout aux comportements sexuels à risque, démontre une étude de l'Université Concordia.

Le trouble bipolaire compte parmi les dix affections les plus invalidantes dans le monde, selon l'Organisation mondiale de la santé. La maladie se caractérise par des périodes d'euphorie extrême, une fuite des idées et une diminution du besoin de dormir, ainsi que par des phases de profonde tristesse et de désespoir.
Étant donné que le trouble bipolaire s'accompagne d'un risque accru de suicide, de toxicomanie, d'hypersexualité, de mésentente familiale et de comportement agressif, il affecte non seulement la personne qui en est atteinte, mais aussi la famille tout entière - en particulier les enfants, indique l'université par voie de communiqué.
Des recherches antérieures ont révélé que la progéniture de parents atteints du trouble bipolaire présente un risque plus élevé de développer une maladie psychiatrique. On ne s'était toutefois encore jamais intéressé aux répercussions psychosociales que subissent les enfants élevés par des parents bipolaires.

Pour en savoir plus, clickez-içi