Asesoramiento psicológico, terapia y coaching

« Ne prétendons pas que les choses changent si nous continuons à faire la même chose », Einstein

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dimanche 29 décembre 2019

Quelles sont les urgences psychologiques les plus courantes en cette période de fin d'année ?


Quelles sont les urgences psychologiques les plus courantes en cette période de fin d'année ?

Sans être classé en tant qu’urgence psychologique, il n'est pas rare que dans les semaines précédant les périodes de vacances ou de jours fériés, il y ait un surcroît des consultations psychologiques probablement dues en raison de la prévision d'une augmentation du temps non structuré, ainsi que des contacts sociaux ou l'inverse, par l'absence de rencontres perçues comme normatives.

Les épisodes étiquetés par les manuels de diagnostic (DSM-5 ou CIE-10) comme dépressifs, anxiogènes ou mixtes, avec toutes leurs spécificités (phobie sociale, crise de panique, trouble obsessionnel-compulsif, anorexie nerveuse, boulimie nerveuse...) sont les trois raisons de consultations les plus fréquentes.

Les problèmes dans le couple ou avec les enfants peuvent également nécessiter des conseils psychologiques spécialisés. Maximiser après l'évaluation scolaire qui coïncide avec la fin du trimestre et avec le désir de commencer une meilleure nouvelle année.

Une autre cause possible de la demande de consultation est l'augmentation des symptômes de stress de l'accumulation d'événements vitaux stressants (AVE) à ces dates. Parmi ces AVE se trouvent les mêmes vacances ou périodes de Noël ...

Les AVE sont compris dans une échelle faite en 1967 par Thomas Holmes et Richard Rahe pour identifier 43 événements stressants qui peuvent se produire dans la plupart des cultures et peuvent causer des maladies. Bien que certaines études aient critiqué la validité de l'échelle au XXème siècle et sa transculturalité, son utilité demeure d'évaluer le degré de stress auquel une personne particulière est exposée et le degré d'impact psychologique perçu (« Conditions psychométriques de l'échelle des événements vitaux stressants, Londoño et Cols dans Current In Psychology, 33 (126), janvier-juin 2019, 83-96).

L'un de ces AVE peut être dû à la perte d'un membre de la famille ou d'une personne proche, soit à la suite d'accident, soit à l'automutilation. Selon l'examen effectué par le Dr Dominique Savary dans le Journal Medscape, la période de fin d'année est associée à une augmentation de la mortalité des patients principalement atteints de maladies cardiovasculaires et, en particulier les patients atteints de maladies coronaires. Dans ces cas, il a été démontré que l'utilisation des services d'un psychologue ou d'un psychologue spécialisé dans les urgences psychologiques, améliore les soins immédiats en cas d'urgence, il peut prévenir les complications ultérieures et favorise la détection précoce des facteurs de vulnérabilité possibles à l'avenir des personnes proches du décès imprévu.

Enfin, il est important de noter que l’abstinence tout comme la consommation excessive d'alcool ou d'autres substances (anxiolytiques, cocaïne, amphétamines, caféine, anticholinergiques, hallucinogènes, hormones stéroïdes ou sympathomimétiques), augmentent également les urgences médicales et psychologiques.

De ma part, je collabore depuis 2014 avec le Service d'Assistance et le Soutien Psychologique de PsyFrance dans l’aide psychologique urgente des personnes à risque psychosocial et dans l'accompagnement d'événements vitaux stressants pour répondre à ces éventualités.



mercredi 25 septembre 2019

Je doute, tu doutes, nous doutons, ils doutent


Combien de questions pouvons-nous nous poser durant toute une heure ? Et toute une journée ? Et pendant une semaine, combien de fois ? Et tout au long d’une vie ?

En général, le doute nous ouvre des portes qui peuvent nous aider à voir de nouvelles perspectives, ou pour résoudre des problèmes, parce qu’en fin de compte, le doute n’est rien de plus que reconduire des jugements ou des décisions. L’Académie Royale de la langue espagnole d’une manière plus poétique définit le doute de cette façon «  l’arrêt ou l’indétermination du courage » Mais quand termine l’arrêt et continue le jugement ou la décision ? « Voilà la question, cher Hamlet », c’est ce que se disait Hamlet à soit même.

Quelques personnes prennent du plaisir dans la réflexion et dans le doute, dans certaines occasions, il peut produire presque un plaisir philosophique lorsque l’on prend le temps et la distance pour réfléchir et douter.

Dans la plupart des cas, les conséquences imprévues ou non souhaitées de nos décisions, nous amènent à repenser et à douter, depuis la psychologie nous pouvons définir ces situations comme crises. Mais les crises dans son sens plus stricte, sont des situations concrètes, des points d’inflexion qui obligent le changement.

A certains moments de notre vie aussi, nous pouvons avoir les doutes éternels, des lieux communs et des personnes qui vont prendre l’habitude ou le vice de douter sur des thèmes récurrents, en particulier sur ce qu’ils font. Devrai-je rester dans cet emploi ou prendre le risque et changer ? Suis-je heureuse dans mon couple ? Mais EST-CE VRAIMENT CE QUE JE VEUX ?

Ces situations sont celles qui nécessitent plus de temps pour élucider, car selon les motivations et les définitions du travail, à un certain moment nous pouvons « vouloir la vérité » changer et à d’autres moments conserver. Le sujet du bonheur s’explique d’une façon plus complexe. Quelle est la définition du bonheur ? Qu’est-ce qui me rendrait heureuse en ce moment ? Et dans une demie heure ou dans dix ans ? Suis-je suffisamment heureuse de cette façon ? Et de ce que je doute en ce moment, faudra-t-il résoudre un problème plus tard ?

Enfin, il existe des doutes qui sont pathologiques quant au niveau de malaise qu’ils génèrent et la gravité qui entrent en jeu dans divers domaines de notre vie ( personnel, familial, social, professionnel ou académique… ) Bien qu’ils puissent surgir lors d’un probable début comme un baume comme pour calmer des inquiétudes, avec le temps ils deviennent un schéma appris qui répète continuellement la suspension, et génère plus d’angoisse que de calme, et pourrait terminer à être un véritable trouble obsessionnel, TOC, célotypie, l’hypocondrie…

Dans les deux derniers types de doutes décrits, il faut faire appel à un professionnel du comportement, tel que des psychologues, pour nous accompagner dans le processus d’en finir avec les doutes, en expliquant les émotions qui les lient et faciliter la manière de nous sentir plus heureux, sans aucun doute.


Sandra Iriarte


vendredi 16 décembre 2016

La dépression comme thème de la Journée mondiale de la Santé 2017

Nous avons pris connaissance que l'Organisation mondiale de la Santé a choisi la dépression comme thème de la Journée mondiale de la Santé 2017.

À cette occasion, je vais dédier une série de publications sur mon blog au phénomène de la dépression, exposant ce que nous entendons de nos jours du point de vue clinique par dépression, ses manifestations, ses possibilités d'intervention et les prévisions d'amélioration.

Dépression: parlons-en

La Journée mondiale de la santé, célébrée chaque année le 7 avril pour marquer l’anniversaire de la création de l’Organisation mondiale de la Santé, offre une occasion unique de mobiliser l’action autour d’un thème de santé spécifique qui concerne le monde entier.

À l’occasion de la Journée mondiale de la santé 2017, le thème de la campagne est la dépression.
La dépression touche les personnes de tous les âges, de tous les horizons et de tous les pays. Elle provoque une détresse morale et a une incidence sur l’aptitude des personnes à effectuer les tâches de la vie quotidienne, avec parfois des conséquences désastreuses sur les relations avec la famille et les amis et sur l’aptitude des personnes touchées à gagner leur vie. Dans le pire des cas, la dépression peut conduire au suicide, lequel représente désormais la deuxième cause de décès chez les 15-29 ans.

Toutefois, il est possible de prévenir et de traiter la dépression. Mieux comprendre la dépression, connaître et les moyens de la prévenir et de la guérir, permettra de réduire la stigmatisation associée à cette maladie et d’encourager davantage de personnes à demander de l’aide.



mardi 15 mars 2016

18 Mars 2016 Journée Internationale du sommeil

Vendredi 18 mars, c’est la Journée Internationale du sommeil. Ce jour-là,  l’Association Mondiale de la Médicine du Sommeil nous propose que le sommeil soit un rêve joignable pour tous, car selon ses estimations, uniquement un tiers de la population arrive à atteindre un bon sommeil selon les paramètres de santé.
Je vous propose de profiter cette journée pour réfléchir sur l’importance d’un bon sommeil que les médecins et psychologues nous ont prouvé et néanmoins, des difficultés que nous avons à y parvenir. Il est clair que la médecine et la psychologie du travail nous ont suffisamment démontré les conséquences de la fatigue physique et mentale dans la production, les conséquences personnelles et sociales des troubles du sommeil nous montrent qu’elles sont encore plus importantes.
Un bon sommeil ne se mesure pas uniquement en quantité mais aussi en qualité. S’il est souhaitable de dormir entre 7-8 heures par jour, si cela est dû uniquement à l’utilisation de somnifères où ce sommeil n’est pas réparateur, nous pouvons faire autre chose pour arriver à dormir suffisamment et bien.
Quelquefois nous n’avons pas assez de temps pour dormir, ou bien, nos soucis et activités ne nous permettent pas de nous reposer pendant les heures où nous sommes endormis. Si après avoir surveillé votre hygiène du sommeil, vous n’y arrivez pas, vous pouvez consulter un spécialiste pour vous aider à analyser vos rutines au sujet du sommeil et il pourra vous proposer des alternatives pour améliorer votre sommeil et votre santé.

Le sommeil est comme le temps, nous ne pouvons pas l’apprivoiser pour compenser l’insomnie. 


mercredi 6 janvier 2016

Ne pas être cohérent(e) est-il un problème? Être cohérent(e) est un critère de la rationalité?

Ne pas être cohérent(e) est-il un problème? Être cohérent(e) est un critère de la rationalité?

Eh bien, Arkes, Hal R.; Gigerenzer, Gerd; Hertwig, Ralph ont publié dans la revue "Décision", Vol 3 (1), Jan 2016, 20-39, que ce n’est pas toujours adaptative d’être cohérant(e) et ils expliquent pourquoi "La cohérence ne peut pas être une référence universelle pour la pensée rationnelle". Si vous souhaitez poursuivre la lecture de cet article, vous pouvez le faire sur PsyNet

Je vous invite à réfléchir sur l'importance et la fonctionnalité de nos incohérences!



samedi 20 décembre 2014

Parution du livre "Hikikomori, ces adolescents en retrait"

"Retrait social, réclusion à domicile, décrochage, claustration, enfermement, sont autant de formes d’un phénomène nommé « hikikomori » au Japon où il est apparu. Ce trouble de conduite consiste pour des adolescents ou des jeunes adultes à se retirer, le plus souvent dans leur chambre, pendant plusieurs mois ou plusieurs années. Ils s’exilent dans un espace solitaire et ne répondent plus aux attentes sociales, familiales, amicales, arrêtant leurs études, rompant leurs liens, suspendant leurs activités. Ils laissent perplexes leurs proches autant que les acteurs éducatifs et médico-psychologiques.

Comment comprendre ces ermites modernes, leurs conduites, les causes et les conséquences de leur retrait ? Comment ce retrait est-il vécu par eux-mêmes et par leurs familles ? Comment prendre en charge la détresse qu’il manifeste ?

Autant de questions qui tissent cet ouvrage sur le retrait des jeunes, à partir de réflexions de sociologues, anthropologues, psychiatres, psychologues et psychanalystes français et japonais qui ont travaillé ensemble pour repérer, décrire, comprendre et prendre en charge ce phénomène émergent dans nos sociétés."

Par Maïa Fansten, Cristina Figueiredo, Nancy Pionnié-Dax, et Natacha Vellut.


Si vous voulais accéder au contenu du livre, cliquez-ici.

dimanche 23 novembre 2014

Pour mieux comprendre les émotions de nos enfants, par Aurélie Crétin

Dans ce post, je veux partager avec vous une conférence de Aurélie Crétin, très intéressante, un peut longue, mais très didactique sur les émotions de les enfants, comment elles se forment et comment mieux les comprendre.
Je souhaite que vous vous, régalerez avec son écoute.

Pour acceder au vídeo, vous pouvez cliquez içi.

mardi 28 octobre 2014

29 octobre Journée Mondiale du Jeu Pathologique

À l'occasion du 29 octobre, déclaré Journée Mondiale du Jeu Pathologique, je vous propose une réflexion à faire: Quand le jeu n'est-il plus un divertissement et  quand devient-il une pathologie?  

Pour plus d'informations, vous pouvez visiter le site officiel du Gouvernement Québécois à ce sujet en cliquant ici.

dimanche 19 octobre 2014

Pratique de l’apatride ou comment repartir à zéro

Trouvez-vous intéressante cette proposition d'Olivier Roland ?

"Essayez de vous débarrasser de tous les moments passés, maintenant. Essayez de faire du moment présent tout ce qui existe. Quand vous sentez qu’une requête ou une idée antérieure attire votre attention, débarrassez-vous-en.

C’est une pratique de l’apatride. Vous échouerez. Laissez cela aller aussi.

Recommencez à zéro, avec toutes les possibilités qu’offre le vide."



Pour lire la suite, vous pouvez clicker ici.


mercredi 8 octobre 2014

Pourquoi avons-nous peur?


La peur est une des émotions les plus primitives, les plus intenses et les plus difficile à gouverner.

En thérapie, il existe de nombreux troubles liés à la peur, en général les troubles anxieux comme les phobies, la spasmophilie ou l’hypocondrie, les troubles obsessionnels et les troubles associés au stress et aux traumatismes comme l’état de stress post-traumatique. D’ailleurs certains théoriciens s’aventurent à résumer que la PLUPART des problèmes que nous subissons son dûs à la peur ou à l’argent.
 
Sans entrer dans un débat sur cette dernière affirmation, dans le contexte qui nous intéresse, nous devons savoir premièrement, que la peur est un instinct qui nous a protégé  pendant des milliers d’années, et ce jusqu’à présent. Il y a 20.000, ans nous avions peur de tous les animaux qui bougeaient y compris les personnes que l’on ne connaissait pas car cela nous protégeait d’être mangé par quelqu’un.
 
Et c’est maintenant que nous vivons dans une société dite du bien-être où notre vie n’est pas constamment en danger de mort que, paradoxalement, nous  nous sommes habitués à vivre avec un niveau d’activation et préoccupation similaires à celui que nous connaissions lorsque notre vie était en danger.
 
À ce sujet, je veux signaler aussi que, même si à présent nous n’avons pas de menaces provenant « de la jungle », nous pouvons vivre sous d’autres menaces réelles comme le chômage, ne pas pouvoir arriver à la fin du mois à cause des nombreux frais auxquels nous sommes confrontés, ne pas pouvoir payer le loyer ou l’hypothèque, etc. ; et dans le cas de ces problèmes objectifs, les solutions envisagées doivent se diriger plutôt à chercher l’aide et le soutien nécessaires pour pouvoir arrêter objectivement les menaces réelles.
 
Par contre, quand les menaces qu’on perçoit ne se sont pas encore produites, nous vivons comme réelle une situation qui n’existe que dans notre pensée, et nous faisons expérimenter réellement à notre corps les conséquences de la peur d’une façon « inutile » car elle ne nous protège pas du danger. Bien au contraire, dans ce cas de figure, nous harcelons notre corps et notre vie avec des préoccupations sur  d'hypothétiques problèmes, et cela devient notre vrai problème, au présent.
 
Comment s’en sortir ? Si vous et vos proches, vous avez déjà essayé de raisonner et que vos peurs vous dépassent, c'est peut-être le bon moment de consulter un professionnel afin de vous aider à vivre au présent et apprendre à vivre avec vos incertitudes. Votre bien-être le mérite bien.

lundi 6 octobre 2014

La Sérophobie ou Phobie du sida

 Traditionnellement, quand nous pensions au VIH ou sida, les premières images (chargées de pensées et émotions négatives) qui nous venaient à l’esprit,  étaient celles des maladies, de la mort, de la maigreur, de la  honte, de la punition   aux comportements libertins...
 Psychologiquement, les personnes ont eu besoin de se défendre de cette image construite sur le VIH, et ont défini les "Groupes à risque" pour se définir elles-mêmes : « seulement les hommes qui ont des rapports sexuels avec d'autres hommes, les femmes qui se prostituent et les personnes qui consomment des drogues injectables peuvent être atteintes du VIH ». « Si je ne fais pas cela, je serai protégé de cette épidémie. » C'est comme cela que beaucoup de personnes ont développé une méfiance,  bientôt devenue rejet et discrimination,envers les personnes qui vivent avec le VIH, comme outil de défense pour pouvoir avoir la certitude que cela ne leur arrivera jamais à eux. Et nous avons créé la Sérophobie (dans le même sens que la Xénophobie ou la Transphobie), pour définir la discrimination dont souffrent les personnes qui vivent avec le VIH.
 Depuis, il y a plus de trente ans, la communauté scientifique a prouvé que le VIH n'était pas un agent infecto-contagieux, mais transmissible. Maintenant que nous connaissons les voies de transmission et les manières de nous protéger, nous savons que toutes les personnes qui ont des rapports sexuels non protégés ou partagent du matériel injectable, courent le risque d’être infectées par le VIH. En effet, 47% des plus de 3000 personnes qui sont infectées tous les ans en Espagne l’ont été à travers des relations hétérosexuelles. Les personnes qui partagent les seringues pour s'injecter des hormones liées au développement des muscles courent aussi des risques...Toutes ces évidences ont fait trembler les piliers de la sérophobie et impliquent la grande majorité de la population dans la prévention du VIH.
 C'est alors que certaines personnes, faisant de grands efforts mentaux pour se protéger de la peur et de la possibilité d'infection par le VIH, développent de vrais troubles associés à ce dernier, tels que l’hypocondrie spécifique envers le VIH, la phobie spécifique envers le VIH, l’obsession, l’anxiété spécifique envers le VIH, etc...

Quand la peur d’être infecté par le VIH ne vous permet pas d'avoir des relations sociales sans penser à celui-ci, si chaque fois que vous voyez du sang vous craignez d’avoir été infecté, si vous pensez avoir "tous les symptômes du VIH" même si vous avez des résultats négatifs aux analyses de sang, alors c'est peut-être le moment de vous permettre d’être heureux et de sortir du trouble dont vous souffrez par rapport au VIH  en consultant un spécialiste.

dimanche 28 septembre 2014

Mindfulness ou Pleine conscience


Sur le Site Francophone sur la Plein Conscience en Psychothérapie nous pouvons trouver la définition suivante du « Mindfulness” ou Etat de Pleine conscience comme, "Etat de conscience qui résulte du fait de porter son attention, intentionnellement, au moment présent, sans juger, sur l’expérience qui se déploie moment après moment". Kabat-Zinn, 2003.

Ce récent courant dans la Psychologie, nous apporte des outils pratiques pour nous connecter avec nous-mêmes, nous faire plus conscients de notre existence et trouver un point de départ pour le travail thérapeutique.


Sur le même site, vous pouvez trouver toute une section de Matériel très intéressant pour pratiquer le Mindfulness. Si ça vous intéresse, vous pouvez suivre le lien,  ici.

mardi 16 septembre 2014

dimanche 14 septembre 2014

10 septembre, Journée Mondial pour la prévention du suicide

À l'occasion du 10 septembre, Journée Mondial pour la prévention du suicide, je vous présente un article intéressant : Le suicide, pathologie de la décision? Le suicide est-il un libre choix? Cette interrogation, qui sonne comme une question de philosophie, fait actuellement l'objet de travaux de recherches neuropsychologiques. Les premiers résultats tendent à confirmer que le suicide est avant tout l'expression extrême d'une tendance à faire des mauvais choix. Pour en savoir plus, Cliquez ici

jeudi 11 septembre 2014

Découverte d'un marqueur de la dépression ?

Des chercheurs canadiens ont mis à jour une petite molécule exclusivement présente dans l’organisme des humains et des primates, qui permettrait de détecter les personnes dépressives. Cette découverte pourrait permettre d’adapter les traitements et de mieux prendre en charge les patients. C’est ce que suggère une étude publiée dans la dernière édition de la revue Nature Medicine. Pour en savoir plus, suivre ce lien

vendredi 20 juin 2014

Les Autres, une BD pour promouvoir le bien-être des jeunes et prevenir le suicide

Le suicide est la première cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 29 ans en Suisse. 

L’association STOP SUICIDE s’est donnée pour but de parler et faire parler du suicide, afin d’informer, sensibiliser et prévenir le suicide des jeunes. 

En octobre 2013, un nouvel outil a pu voir le jour, fruit d’un travail de longue haleine : la bande dessinée Les Autres. Pour en connaitre plus cliquez ici.

jeudi 12 juin 2014

Les enfants de parents bipolaires sont plus sujets aux problèmes psychosociaux

Les enfants de parents bipolaires sont plus sujets aux problèmes psychosociaux, surtout aux comportements sexuels à risque, démontre une étude de l'Université Concordia.

Le trouble bipolaire compte parmi les dix affections les plus invalidantes dans le monde, selon l'Organisation mondiale de la santé. La maladie se caractérise par des périodes d'euphorie extrême, une fuite des idées et une diminution du besoin de dormir, ainsi que par des phases de profonde tristesse et de désespoir.
Étant donné que le trouble bipolaire s'accompagne d'un risque accru de suicide, de toxicomanie, d'hypersexualité, de mésentente familiale et de comportement agressif, il affecte non seulement la personne qui en est atteinte, mais aussi la famille tout entière - en particulier les enfants, indique l'université par voie de communiqué.
Des recherches antérieures ont révélé que la progéniture de parents atteints du trouble bipolaire présente un risque plus élevé de développer une maladie psychiatrique. On ne s'était toutefois encore jamais intéressé aux répercussions psychosociales que subissent les enfants élevés par des parents bipolaires.

Pour en savoir plus, clickez-içi

mardi 18 mars 2014

Culpabilité


Pourquoi se sent-on coupable ? Comment arriver à se libérer de ce sentiment ?

A travers cette vidéo, Yves-Alexandre Thalmann vous présente en détail les différents mécanismes de la culpabilisation et vous montre comment vous libérer de ce sentiment pesant et inutile.
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