Des chercheurs canadiens ont mis à jour une petite molécule exclusivement présente dans l’organisme des humains et des primates, qui permettrait de détecter les personnes dépressives. Cette découverte pourrait permettre d’adapter les traitements et de mieux prendre en charge les patients. C’est ce que suggère une étude publiée dans la dernière édition de la revue Nature Medicine. Pour en savoir plus, suivre ce lien