Asesoramiento psicológico, terapia y coaching

« Ne prétendons pas que les choses changent si nous continuons à faire la même chose », Einstein

jeudi 20 février 2014

La peur du changement : principale résistance au bonheur. par Martine Massacrier Psychothérapeute française


"Admettons encore ... (que) la personne volontaire et motivée, suffisamment adaptable, mentalement ouverte à d'autres possibles et décidée à agir pour faire bouger les choses (le patient idéal en quelque sorte). 


Et bien même une telle personne ne fera pas l'économie de la difficulté à changer les choses, même s'il est largement démontré que c'est de loin notre intérêt de le faire. On peut même dire que le succès et la durée d'une thérapie sont directement liés à notre capacité à négocier avec ce refus du changement.



Le refus du changement c'est tout d'abord la peur de l'inconnu. Un « tiens » vaut mieux que deux « tu l'auras » nous dit La Fontaine. Ce précepte de sagesse populaire semble être fortement ancré dans les esprits. Mais peut -on vraiment parler encore de sagesse quand tenir à une souffrance semble valoir mieux que d'espérer deux bonheurs ? Car ce besoin de sécurité extrême en arrive à nous faire effectivement tenir à nos souffrances parce qu'elles sont connues donc quelque part sécurisantes. Choquant n'est-ce pas ? Et pourtant. Tous les psychothérapeutes quelque soit leur orientation qui assistent au quotidien au spectacle de patients qui semblent s'accrocher à leurs symptômes comme à une bouée de sauvetage plutôt que d'opérer une petite remise en question (et surtout les actions qui en découlent) en sont témoin."

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